Ecoute ton corps te parle : INFARCTUS DU MYOCARDE & CONFLITS EMOTIONNELS
Le corps et l'esprit sont liés incontestablement. Les maux du deuxième sont matérialisés dans la matière du premier. Vouloir soigner le corps sans guérir l'esprit ne sert à rien. Combien de douleurs et maladies disparaissent comme par "magie", dès que la blessure émotionnelle qui habite l'âme est guérie. Dans cette série d'articles que je vous propose désormais, régulièrement je vais mettre en lumière une partie du corps ou une maladie en particulier. J'espère que vous y trouverez un début de réponse à votre problème. Laissez-moi un commentaire pour me dire si cette explication vous parle, si vous voulez en savoir sur un maux ou une maladie ou pour simplement me poser une question. Bonne lecture !
Lorsque l’on est confronté à un infarctus du myocarde, il est important de regarder au-delà des apparences. Comme toute maladie, elle est un message suffisamment fort envoyé par le corps pour exprimer que quelque chose ne va plus dans notre vie.
Oui, il s'agit d'une maladie multifactorielle. Oui, elle a une cause psycho-émotionnelle qu’il faut interroger puis guérir si l’on veut une rémission complète.
Aussi appelé « crise cardiaque » ou « attaque cardiaque », l’infarctus du Myocarde touche le cœur, le centre de l’amour à l’intérieur de moi, le noyau de mes émotions.
L’attaque cardiaque est pour le corps une façon désespérée de me montrer que je vais trop loin, que je mets beaucoup trop d’attention sur des détails qui ne sont pas importants.
Je « chéris » et protège mon statut social, au lieu de revenir à l’essentiel de ma vie qui est la joie de vivre du cœur en famille, d’exprimer l’amour, de s’aimer soi-même, de savourer chaque moment avec intensité.
C’est comme si je commettais une infraction au code du « bien-être et de l’amour de soi ». J’ai très peur de ne pas réussir. Je tiens tellement à tout ce qui fait partie de mon « territoire » (ma femme, mon travail, mes amis, ma maison mon fief, etc.), que si j’ai l’impression d’avoir perdu ou que je suis sur le point de perdre quelque chose ou quelqu’un à l’intérieur de mon territoire, je peux résister à ce qui arrive et je ferai une crise cardiaque.
Je sens que je suis sur le point de devoir abdiquer, démissionner. Je risque de voir tout basculer dans ma vie.
Je voudrais « de tout mon cœur » rester le chef, le maître à bord. Je ne veux pas démissionner, renoncer aussi facilement. Je regarde tout ce que j’ai pu acquérir au fil des années et je regarde si maintenant j’ai l’impression qu’on m’a dépossédé ou qu’on va le faire. Ce peut être des objets, des personnes, ma fierté, mes capacités physiques, intellectuelles ou affectives.
Mon niveau d’envie est démesuré. Je peux même avoir l’impression qu’on veut m’exproprier car je ne suis plus le bienvenu.
Est-ce qu’on m’empêche de diriger à ma façon ?
L’attaque cardiaque est aussi reliées à mes propres sentiments et à ce que je vis par rapport à ceux- ci. Jusqu’où suis-je capable de sentir l’amour et de l’exprimer aux autres ?
Jusqu’à quel point suis-je capable de m’aimer et de m’accepter, tel que je suis ?
Est-ce que je m’oblige à être « quelqu’un d’autre » et à en faire trop pour prouver aux autres ce que je suis et ce que je vaux ?
Le fait que je me mésestime au plus haut point m’empêche de laisser qui que ce soit entrer dans mon univers et dans mon cœur. Parce que j’ai l’impression d’être faible, je donne une image dure aux autres.
J’ai un océan d’émotions pris en dedans et si j’accepte d’y plonger, j’ai l’impression que je vais me noyer tant j’ai accumulé depuis si longtemps ! C’est pourquoi l’engagement devient pour moi quelque chose de difficile à vivre.
C’est ma colère, ma frustration, mon agressivité, ma haine qui, trop longtemps refoulées, n’en peuvent plus et qui explosent.
La découverte des aspects les plus importants et significatifs de la vie ne se réduit pas à la quantité d’argent gagné ou au succès que j’ai.
Autant le cœur peut être associé à la compassion et à l’amour, autant il peut être associé à son opposé qui est l’hostilité, la haine et le rejet.
L’attaque cardiaque survient souvent dans une période de ma vie où, soit que la compétition est trop forte, soit que je vis une pression financière, combinée à la désaffection grandissante de la famille et des proches aimés.
La vie devient un combat. Je vis des affrontements qui m’amènent un niveau de stress élevé. C’est tout ou rien et ma vie perd son sens si j’ai un échec.
Je m’étourdis dans mille et un projets afin de ne pas être en contact avec mon intérieur et les personnes qui m’entourent. Je me sens bafoué.
C’est la séparation entre mes sentiments, mon implication, mes relations et l’Univers ainsi que ses rythmes naturels qui atrophient mon cœur.
Je n’ai plus de plaisir ou le « cœur à l’ouvrage ». Au lieu d’écouter mon corps et mon cœur, je me restreins au maximum.
Tout est programmé, tout est compartimenté. Je pense rejeter les autres mais dans le fonds, je me rejette moi-même. Je me retrouve seul, sans amour.
Je ne crois pas avoir le droit de m’arrêter : je ne peux vivre que dans le travail... Je pense qu’on me méprise mais c’est plutôt moi qui me méprise.
Je veux « m’arranger tout seul » ! J’ai parfois le goût de déguerpir, tout laisser derrière moi car cela en fait trop. Je n’ai plus la fibre du combattant.
Plus je me distance des autres, plus je me rapproche d’une certaine façon vers ma mort affective. J’ai l’impression de tomber en ruines. Je crois devoir me battre.
J’ai à repousser les limites que je me suis imposées et qui m’empêchent maintenant d’accéder à un nouveau niveau d’amour et d’acceptation.
Si je me réfugie dans mon côté rationnel et que j’emprisonne mon corps pour l’empêcher de ressentir les différentes émotions de mon quotidien, il se durcit et j’anéantis les chances de pouvoir comprendre et de pardonner, autant à moi qu’aux autres, afin de pouvoir guérir mes blessures intérieures.
SOLUTION : J’accepte d’aller avec le courant et de prendre le temps d’accepter tout ce que la vie a à me donner et à m’apprendre, afin de retrouver la paix intérieure et de ressentir dans tout mon corps la tendresse, la douceur et l’amour qui m’habitent et qui ne demandent qu’à nourrir mon cœur et à le garder en santé. II s’agit d’une occasion rêvée pour refaire mes priorités, de voir ce qui est réellement important. J’accepte qu’il y ait des facettes de ma personnalité que je refusais de voir et je sais que j’ai toute la force nécessaire pour me regarder dans le miroir et m’accepter tel que je suis. J’accueille mes émotions pour enfin reprendre contact avec mon côté affectif qui me permet d’expérimenter la vie au maximum. J’accepte de mériter d’être aimé et qu’on me donne de l’aide.
Incarnez Votre Force d’Agir dès aujourd’hui.
Contactez-moi dès aujourd'hui au 0677124206.
Sylvie Palin-Luc
Hypnothérapeute
Conseillère en santé intégrative
0677124206
8 rue Pierre Georges Latécoère 33700 Mérignac
IMPORTANT : Les thérapies complémentaires (hypnose, PNL, DNR et les soins énergétiques)
ne se substituent pas à une démarche thérapeutique traditionnelle, elles ne visent pas à faire un diagnostic ou à prévenir une pathologie. Elles sont compatibles avec tout traitement médical en cours ou à venir. Elles ne peuvent et ne doivent en aucun cas se substituer à un traitement médical qui dans tous les cas doit être poursuivi. En cas de doute demandez l’avis de votre médecin.
Article extrait de "le dictionnaire des maux et des maladies" de Jacques Martel, Ed. 2007
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