Géobiologie & cabinet médical
- Cabinet Hypnose f2B
- 27 juin 2018
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 9 avr.
Il y a quelques mois j'ai été contactée par l'Union des Médecins de la Gironde, qui m'a demandé de rédiger un article pour leur annuaire annuel. Cet article devait avoir pour sujet : la géobiologie et le cabinet médical. En effet pour ceux qui d'entre vous ne le savent pas encore, je pratique également la géobiologie, certifiée par la Fédération Française de Géobiologie.
Aujourd'hui, cet article étant paru, j'ai le plaisir de vous le présenter ici. Il vous permettra d'en savoir plus sur cette discipline ancestrale considérée comme étant la MEDECINE de l'HABITAT.
J'en profite pour remercier Eddie Têtu de chez Géobioprotect Académie pour m'avoir transmis avec passion son savoir.
Je suis certaine qu’il vous est déjà arrivé de ne pas vous sentir bien dans un lieu que vous avez fréquenté, dans lequel vous avez vécu ou bien encore dans lequel vous exercez ? Ne vous est-il jamais arrivé de recevoir un patient et de ne pas vous sentir à l’aise en sa présence alors que vous le rencontriez pour la première fois ? N’avez-vous jamais été confronté à des cas où après tous les examens et les analyses réalisés, il vous était impossible de trouver et d’expliquer l’origine d’un mal de dos par exemple ou d’une insomnie chronique ? Un patient ne vous a-t-il jamais dit « Depuis que nous avons changé d’appartement nous ne pouvons plus dormir... » ou bien « Au réveil, nous trouvons notre fils recroquevillé dans le coin de son lit et nous n’arrivons pas à guérir son énurésie... » ou bien encore « Je reste à la maison depuis quelques semaines et depuis, je vais de dépression en dépression. Pourtant, dés que nous partons en vacances, tous ces problèmes disparaissent comme par enchantement, mais réapparaissent 15 jours après notre retour à la maison... ». Combien de personnes se plaignent d’être toujours malades ou fatiguées depuis qu’elles ont déménagé ou changé de bureau ? Tout cela peut, peut-être, vous paraître normal. « On ne peut pas tout expliquer ni guérir tout le monde », me direz-vous et vous avez raison. Mais il est des cas où l’on peut intervenir malgré tout et de façon très simple.
Je ne vous apprendrais rien en vous disant que le corps humain est fait d’énergies. La médecine chinoise est bien connue pour travailler sur et avec ces énergies. Tout ce qui nous entoure est énergie (même si nous ne la voyons pas).
L’atome, ce noyau avec des électrons tournant autour, à plusieurs millions de milliards de révolutions par seconde, la matière ne représente donc que 0,01% du volume et cet atome, le reste est constitué de vide. Beaucoup de vibrations sont donc ignorées puisque les outils pour les observer n’existent pas encore mais cela ne veut pas dire qu’elles n’existent pas. Il en fut de même par le passé pour toute découverte.
Prenez le thermomètre avant qu’il ne soit inventé, il n’était pas possible de prouver l’existence de la fièvre, ni de la mesurer ce qui ne voulait pas dire pour autant qu’elle n’existait pas et il était cependant possible de la ressentir. Il en est de même pour les énergies invisibles qui nous entourent qu’elles soient cosmiques (venant du ciel), telluriques (venant de la Terre plus précisément du noyau terrestre) ou artificielles.
Ainsi nous vivons dans un environnement fait d’énergies et interagissons avec lui. Or beaucoup ignorent que les lieux ont une influence sur nous. Certaines zones spécifiques d’une pièce se révèleraient même particulièrement perturbatrices pour l’organisme lorsqu’on y demeure trop longtemps. C’est pourquoi, bien choisir l’emplacement de notre lit, de notre siège de bureau et de tout autre endroit où nous séjournons plusieurs heures par jour ou par nuit, fait partie des facteurs essentiels à notre équilibre. Il ne s'agit pas de problèmes d'insalubrité flagrante, mais de phénomènes invisibles, méconnus ou ignorés, émanant de notre environnement – extérieur et intérieur - qui polluent insidieusement nos lieux de vie et de travail. Une exposition prolongée à ces « ondes » nocives provoquerait, de façon variable d’un individu à l’autre selon sa sensibilité, des troubles du comportement et/ou de graves problèmes de santé : stress, sautes d’humeur, fatigue chronique, manque de concentration, maux de tête à répétition, troubles du sommeil, pertes de mémoire, dépression nerveuse, baisse du système immunitaire, dérèglements endocriniens - et parfois - maladies dégénératives voire cancers... Plus banalement, par exemple, des projets peuvent stagner, quelle que soit l’énergie déployée...
De quoi s’agit-il ?
Il y a 13 ans déjà, se tenait le 3ème Symposium Européen de l’Habitat et de la Santé à Strasbourg, rassemblant sous le patronage du secrétaire général du Conseil de l’Europe des médecins, physiciens, architectes, scientifiques qui affirmaient que les "maisons-à-cancer" existent ! Deux habitations sur trois sont sources de troubles de santé comme le confirment ces spécialistes. Les rayonnements électriques, certains champs électro-magnétiques et croisements telluriques, entre autres, ont une influence défavorable sur notre santé et notamment sur notre sommeil. Ils agissent par déséquilibre vibratoire de la cellule humaine.
De la Terre jaillissent des forces telluriques de polarité négative compensées par les rayons cosmiques de polarité positive. Cet équilibre est nécessaire à la vie et à l’épanouissement normal des cellules.
C’est ainsi que tout organisme vivant, suivant le lieu précis où il réside ou travaille, subit l’influence de rayonnements cosmo-telluriques, de champs électromagnétiques terrestres et de charges électriques libres (mesurables). Aujourd’hui, l’accumulation de rayonnements multiples devient dangereux, surtout lorsqu’ils sont doublés d’anomalies souterraines (cours d’eau, failles, cavités, etc.) Ces nuisances, détectables, perturbent le fonctionnement de la cellule, allant des maux bénins (maux de tête, fatigue générale, insomnies, rhumatismes...) aux maladies les plus graves (Cancer, Dépression, sclérose en plaques...).
En Europe, sur plus de 15.000 cas contrôlés par des tests, des médecins ont constaté que, sans être la cause directe des maladies, les zones géopathogènes (endroits irradiés par les ondes nocives) jouent un rôle prépondérant dans 70 % des maladies graves ou chroniques !
Il faut donc vivre en zone neutre (lit, bureau) et éviter les croisements telluriques surtout lorsqu’il y a une anomalie dans le sous-sol (faille, cours d’eau...). Les études sur des dizaines de milliers de cas sont formelles et la pratique ne cesse de confirmer ce rapport étroit entre la santé et le lieu, que ce soient pour les êtres humains, les animaux ou la végétation.
De plus en plus de médecins partout en Europe se rendent compte de l’influence de l’habitat sur la santé de leurs patients.
La géobiologie ou la médecine de l’habitat
Etymologiquement le terme vient de « Géo » qui signifie « la Terre », « Bio » qui signifie « la Vie » et « Logis » qui signifie « connaissance ». La géobiologie est donc l’étude des apports et des influences des énergies cosmiques et des énergies telluriques d’un lieu donné sur le monde vivant ; d’où un lien très étroit dans cette discipline avec la géologie, la géophysique, l’hydrologie, la biologie, l’astrophysique, l’électronique et… la radiesthésie. En effet, si certaines de ces « ondes » se mesurent aujourd’hui avec des appareils scientifiques sophistiqués, d’autres, plus subtiles, ne peuvent aujourd’hui se détecter qu’avec l’aide d’outils comme le pendule, la baguette de sourcier, ou encore l’antenne de Lecher.
Le géobiologue, dont les pratiques nécessitent, à la fois, des qualités techniques et sensorielles, a un domaine de compétences toutefois, bien plus vaste que la simple recherche d’eau souterraine puisqu’il va s’intéresser à tout ce qui se trouve sous nos pieds – failles, veines d’eau, nappes, cavités... – mais aussi tout un tas d’autres phénomènes impalpables émanant du sous-sol de la Terre et de l’espace, susceptibles d’altérer la « qualité vibratoire » d’un lieu. Autrement dit, le « potentiel régénérateur » qu’une maison, un appartement ou un bureau peut avoir sur ses occupants. On retiendra que l’eau souterraine est l’élément le plus perturbateur actuellement et dans une région comme la nôtre où une grande partie du sous-sol abrite d’anciens cours d’eau ou d’anciens marécages, surtout en zone côtière, la problématique est de taille. Mais le travail du géobiologue ne se limite pas à déceler les rayonnements potentiellement nuisibles d’origine naturelle, il doit désormais intégrer les sources de rayonnements artificiels et minimiser les nuisances que le progrès peut occasionner en intervenant au niveau des ondes électriques et électromagnétiques générées par tous les appareils électroniques qui nous entourent que ce soit nos réseaux électriques (lignes à haute tension, transformateurs, caténaires de tramway et de lignes SNCF), et de télécommunications modernes (téléphone mobile, wifi, 3G, antenne relais, téléphone DECT fixe sans fil...), une mauvaise installation électrique, nos équipements domestiques (télé, ordinateurs, ampoules basse consommation, four micro-ondes, radio-réveil...) ou encore les ondes de forme induites par l’architecture de nos bâtiments modernes ou certains matériaux de constructions (amiante, placo-platre, etc.), mais également la radioactivité et le gaz Radon générant une ambiance électrique de plus en plus stressante. Pour les géobiologues, ces phénomènes nuisibles peuvent donc être telluriques, cosmiques, électromagnétiques, électriques, électrostatiques, physico-chimiques, et autres sources invisibles.
La géobiologie apporte dans l’habitat ou le lieu de travail, une harmonie de vie, qui fait souvent défaut à notre époque, du fait de certaines forces naturelles qui ont été sous-estimées voire « oubliées ». Donc, en localisant ces ondes néfastes, nous mesurons leurs impacts précisément, de sorte les modifier en ondes neutres ou bénéfiques. Les personnes sensibles sentent immédiatement l’amélioration de l’ambiance vibratoire du lieu (on s’y sent bien et on y retrouve toute son énergie...). C’est toute une Qualité de Vie qui s’en trouve améliorée.
La géobiologie : une science ancestrale
Si la géobiologie moderne remonte à une cinquantaine d’années, la prise en compte de l’environnement pour installer son lieu de vie ne date pas d’hier. Souvenez-vous de ce qu’écrivait Hippocrate (IVème siècle av. JC) dans son « Traité des airs, des eaux et des lieux » : « on ne peut prétendre guérir un patient sans prendre en considération les influences de son environnement quotidien… ».
Les Romains, avant de choisir l’emplacement de leurs villes, faisaient paître leurs moutons durant toute une année sur le site sur lequel ils envisageaient d’ériger leur ville. Puis ils examinaient leurs foies et s’ils étaient douteux, l’endroit était alors considéré comme impropre à être habité.
Ou bien encore en Chine plus de 3000 ans av. JC, l’environnement était lui aussi pris en considération. Ainsi Sun Si Miao, l’équivalent chinois d’Hippocrate (581-682) écrivait déjà dans ses « Notes complémentaires aux recettes de dix mille pièces d’or » : « Un bon médecin se doit non seulement d’examiner le patient mais également son environnement direct et indirect, bon nombre de maladies, dont les plus difficiles à soigner, sont liées aux perturbations du terrain et de l’habitat, oublier de considérer ces perturbations est un faute professionnelle ».
Tous les édifices païens ou sacré ont été érigés sur des lieux à fort taux vibratoire, en harmonie avec la nature et en tenant compte du positionnement du soleil, de la lune, de l’eau, des failles, des réseaux. Souvent les archéologues ont pu constater qu’un édifice avait pris la place d’un autre : par exemple une église chrétienne construite sur les vestiges d’une église mérovingienne. Les recherches en géobiologie actuelles permettent de confirmer la présence d’énergies puissantes exceptionnelles en ces lieux particuliers.
Le choix de leurs implantations procédait de tout sauf du hasard. Nos ancêtres étaient sensibles à leur environnement et le respectaient. Ainsi ils connaissaient parfaitement l’influence perturbatrice induite par une faille ou par un ou des cours d’eau souterrain(s).
Ils évitaient d’y construire leur habitation et nommaient ces lieux de façon très caractéristique comme la toponymie de certains endroits le montre encore aujourd’hui : le Val d’Enfer, Malmaison, Lafosse, Tournemal, Mauvent, Lafaille, etc. et préféraient habiter des sites baptisés : Bel Air, Eaubonne, Bellerive, Sainterre…
La géobiologie ne prétend pas détenir la vérité, loin s’en faut. Son but est d’étudier certains aspects de notre monde matériel et d’entrouvrir des portes sur d’autres réalités échappant pour le moment à des démonstrations rationnelles car sortant du cadre des lois connues de la physique actuelle.
Ce n’est pas une théorie fumeuse, ni une vue de l’esprit, encore moins une croyance mais bien une réalité reposant sur des faits connus et reconnus depuis la plus haute antiquité.
La géobiologie est un terme moderne désignant une pratique ancestrale basée sur la perception et la modification des énergies d’un lieu pour créer un cadre de vie propice au vivant. C’est une science qui s’inscrit dans le cadre de l’écobiologie sous toutes ses formes.
Ne pas croire en la géobiologie c’est penser que l’être humain est indépendant de tout ce qui l’entoure que rien n’aurait d’influence sur lui et qu’il n’aurait d’influence sur rien. Or ces dernières années on a vu augmenter le nombre de personnes électrosensibles et l’augmentation des plaintes déposées à l’encontre d’Enédis contre l’installation du compteur Linky.
Comment ces ondes affectent-elles notre santé ?
Pour comprendre, il est indispensable de sortir de notre représentation mécaniste et matérielle de l’être humain. Nous sommes, certes, constitués de chair et d’os mais nous sommes aussi des êtres énergétiques et vibratoires en interaction permanente avec notre milieu. Car comme le rappelle Gérard Dieuzaide, chirurgien dentiste, et diplômé universitaire de posturologie, spécialisé depuis une dizaine d’années dans l’impact des ondes électromagnétiques sur l’être humain, « toute matière émet un rayonnement électromagnétique, appelé l’onde de matière. C’est un principe de physique, explique-t-il. Cette émission photonique bien connue des physiciens est majorée dans un environnement chargé en rayonnements électromagnétiques. Notre corps fonctionne comme un récepteur radio qui peut grésiller lorsque les ondes qu’il reçoit sont incohérentes avec son propre système oscillatoire. Les tests posturaux permettent de mettre en évidence de façon spectaculaire l’impact de cette réalité sur un organisme, et ainsi de relier l’invisible au visible ».
D’autre part dans un entretien du 13 septembre 2010 publiée dans "Médecines environnementales" du Professeur Dominique Belpomme, cancérologue, professeur à l’Université de Paris-Descartes et Président de l’ARTAC disait : « Il existe bien un lien prouvé entre champs électromagnétiques et certaines pathologies. C’est après des premiers travaux pionniers que nous avons effectués avec des collèges Suédois que nous nous sommes aperçus qu’il existe un lien important avec les maladies neurodégénératives et notamment la maladie d’Alzheimer qui peut survenir chez des sujets jeunes, ce dès l’âge de 45 ans… Il y a de plus en plus de parents qui viennent me voir pour leurs enfants qui ont des maux de tête, de troubles de la mémoire, de la concentration ou du langage, avec des problèmes de dyslexie. C’est un enjeu majeur de santé publique… »
La géobiologie moderne ré-inventée par des médecins
Connues depuis très longtemps, ils semblent que toutes ces connaissances ont quasiment disparues principalement après l’extermination de l’Ordre des Templiers et l’Inquisition qui s’en est suivi. Transmises par les constructeurs de cathédrales, ces derniers, pensant être les futurs persécutés, ont fuit la France en 1314 pour l’Italie emportant avec eux leur savoir.
Plus proche de nous, vers 1930, l’un des précurseurs, le Docteur Peyré commençait son travail sur les réseaux géomagnétiques dont la qualité est aujourd’hui unanimement reconnue.
Dans les années 1950, le Docteur Ernst Hartmann (1915-1992, considéré comme le père de la géobiologie moderne) démontra dans sa clinique en Allemagne, l’existence d’un réseau électromagnétique ou géomagnétique aussi appelé réseau tellurique. Il put en décrire les caractéristiques et les effets en certaines circonstances. Il remarqua notamment que certains de ses patients pourtant atteints de la même maladie et ayant le même niveau de gravité, guérissaient de manière plus lente. Des chambres étaient ainsi sujettes à des temps de guérison plus longs allant parfois du simple au double. L’état de certains s’aggravait même. Mais ce qui le troubla le plus, c’est quand il s’aperçut qu’en déplaçant ces malades, leur guérison s’améliorait. Il chercha dans un premier un temps une explication dans les domaines de la psychiatrie et de la psychologie, mais ne trouvant pas de lien à ces phénomènes, il se tourna donc vers l’environnement proche du malade.
Il essaya de résoudre ces problèmes et fit appel à des radiesthésistes puis à des scientifiques qui analysèrent ces perturbations d’un point de vue géologique. Ils constatèrent et confirmèrent à l’aide d’un géomagnétomètre[1] des modifications du champ électromagnétique terrestre aux endroits très précis qui avaient été décelés auparavant par les radiesthésistes. En effet, le Docteur Hartmann n’avait pas remarqué que les personnes les plus atteintes se trouvaient les unes au-dessus des autres dans des zones bien particulières de l’hôpital. Il les déplaça alors et fut étonné de constater que leur état s’améliorait rapidement.
En France, le Professeur Yves Rocard (1903-1992), physicien réputé pour ses nombreux travaux sur la résonance magnétique nucléaire, a localisé des centres récepteurs magnétiques chez l’homme et a prouvé scientifiquement que nous sommes sensibles aux variations locales du champ magnétique terrestre. Il a nommé cela le biomagnétisme[2]. Grâce à lui nous savons aujourd’hui que le signal reçu en radiesthésie correspond à une modification du tonus musculaire et qu’il permet de détecter les influences du lieu.
Pour ma part, j’utilise pour rééquilibrer les lieux une méthode ancestrale utilisée par les celtes dite « à la pierre levée ». Il s’agit de réaliser une acupuncture de la terre en disposant précisement un monolithe en extérieur ou en intérieur qui va réharmoniser le lieu en fonction de son niveau vibratoire initial et de son type de fréquentation. Ainsi on ne posera pas de la même façon une pierre levée dans une maison d’habitation destinée à l’accueil d’une famille en bonne santé comme une pierre levée dans un cabinet médical recevant une grande fréquentation de personnes malades. Pour moi, cette méthode, reconnue et éprouvée est très respectueuse du cadre de vie ou de travail de ses occupants et leur mode d’occupation. D’autre part, la pierre s’intègre très bien dans la décoration moderne de nos jardins et intérieurs.
Aujourd’hui, il est important de prendre conscience de ces influences sur votre vie et celle de vos patients...
Incarnez Votre Force d’Agir dès aujourd’hui.
Sylvie Palin-Luc
Hypnothérapeute
spécialisée en prévention, accompagnement et rémission du cancer du sein et gestion du stress
0677124206
Consultations à Bordeaux et en visio
IMPORTANT : Les thérapies complémentaires (hypnose, PNL, DNR et les soins énergétiques)
ne se substituent pas à une démarche thérapeutique traditionnelle, elles ne visent pas à faire un diagnostic ou à prévenir une pathologie. Elles sont compatibles avec tout traitement médical en cours ou à venir. Elles ne peuvent et ne doivent en aucun cas se substituer à un traitement médical qui dans tous les cas doit être poursuivi. En cas de doute demandez l’avis de votre médecin.
[1] appareil mesurant l’intensité des variations électromagnétiques au niveau du sol
[2] production de champs électriques, magnétiques ou électromagnétiques par les cellules, les tissus ou les organismes vivants.
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