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PAROLE DE PATIENTE : POUR UN TRAITEMENT HOLISTIQUE DU CANCER

Dernière mise à jour : 13 avr.

L’ARC affiche, sur son site internet, que le cancer est la première cause de mortalité prématurée en France devant les maladies cardiovasculaires. En 2023, près de 4 millions de personnes vivaient en France avec un diagnostic de cancer. A l’échelle mondiale, c’est près de 10 millions de décès par an. Autant dire que cette maladie touche énormément de monde à l’échelle planétaire. Ancienne malade du cancer du sein, je connaîs la maladie en tant que patiente mais également entant qu’aidante puisque j’ai perdu mon père d’un cancer de la vessie en 2001.

Par mon expérience de vie, j’ai vu tout ce que peut apporter de positif la médecine conventionnelle mais j’ai aussi vu les lacunes qu’elle peut présenter.

Depuis plus de 20 ans, j’ai en tête de trouver des solutions pratiques et simples qui pourraient venir compléter les traitements conventionnels et surtout donner d’autres chances aux malades de mieux appréhender la maladie.

Ce que j’expose dans cet article, n’est que ma vision de patiente basée sur ce que j’ai mis en place et expérimenté pour vivre au mieux avec la maladie mais aussi la prévenir autant que possible. Ma conception du traitement du cancer repose sur la synthèse de mes recherches actuelles menées en France et à l’étranger tant sur le plan de la médecine conventionnelle que sur le plan des médecines ancestrales et naturelles mais aussi sur un plan psychologique, émotionnel, énergétique et sur la recherche de sens que nous impose, quelque part, cette maladie.




Sur le plan médical, le mot « cancer » utilisé de façon générique, désigne en réalité un groupe de maladies très différentes les unes des autres. C'est la raison pour laquelle nous ne devrions pas parler du cancer, mais des cancers. Nous savons, également, que quel que soit le cancer, il s’agit de la résultante d’un effet cocktail de divers facteurs plus ou moins clairement identifiés et dont nous ignorons les causes réelles. La médecine conventionnelle traite des symptômes correspondant à des maladies face auxquelles elle applique des traitements scientifiquement validés et écarte le pouvoir d’auto-guérison du corps car inexplicable scientifiquement. Pourtant, nombre de guérisons qualifiées de « miraculeuses » existent sans que pour autant elles soient inexplicables par le patient lui-même. La médecine conventionnelle considère le malade sur un plan biologique mais écarte toutes les autres dimensions de l’être humain. Son attention est axée sur la maladie et non sur le malade. Or, à plusieurs cancers, plusieurs solutions.

Aussi, je m’interroge : qu’est-ce que ça changerait si la médecine ne considérait plus la maladie mais plutôt le malade ?

 

L'approche holistique, que je défends, consiste à axer son attention sur le patient et non uniquement sur la maladie. Elle vise à considérer la personne dans sa globalité plutôt que de manière morcelée. Cette vision d’ensemble de l'être humain tient compte de ses dimensions physique, mentale, psychologique, sexuelle, émotionnelle, énergétique, environnementale, culturelle et spirituelle.

Pour le patient, l’annonce d’un diagnostic de cancer est un véritable traumatisme qui va au-delà du côté psychologique. Il se sent atteint dans sa dimension existentielle. Les niveaux de stress post-traumatiques constatés sur certains symptômes sont de niveaux similaires à ceux de faits de guerre. Le patient prend alors conscience qu’il y aura désormais un avant et un après et que sa vie sera différente. La confrontation à la maladie touche toutes nos dimensions, que ce soit celles du malade comme celles de ses proches. La peur associée au mot lui-même touche la dimension de la conscience de l’âme. En tant qu’accompagnant, faire face à une personne malade du cancer, c’est faire face à une personne confrontée à ce défi existentiel qui nous renvoie à notre propre existence, à notre propre mortalité. Accompagner un malade, c’est traiter l’ensemble de ces dimensions quelles que soient nos croyances et nos convictions. Ce sont celles du patient qui doivent être entendues et non uniquement celles du personnel soignant. Or, pour y arriver, un travail en équipe pluridisciplinaire aux approches et croyances complémentaires me paraît la meilleure solution pour répondre au mieux aux attentes du patient et obtenir ainsi son entière adhésion aux protocoles de soin.

 

Mon approche n’est pas infaillible. Je ne suis ni médecin, ni chercheur, ni scientifique. Je suis juste une femme à laquelle une maladie mortelle a été diagnostiquée, convaincue du « bien-fondé » de celle-ci et soucieuse de vivre au mieux avec le diagnostic. Dans ma conception, toute maladie se manifeste pour délivrer un message et alerter d’un déséquilibre profond dans la vie du malade que je qualifie de « non-alignement corps, esprit et âme ». Je rappelle, à ce sujet, que la notion d’âme est officiellement reconnue par le monde médical depuis le 15 décembre 2014, date à laquelle le Docteur François Lallier, alors jeune étudiant en médecine au CHU de Reims, encadré par le Docteur Jean-Jacques Charbonnier, a soutenu sa thèse de doctorat en médecine [1].

 

De nos jours, lorsqu’un cancer est dépisté, quelle que soit sa gravité, les traitements traditionnellement disponibles sont : la chirurgie (la mécanique), la chimiothérapie et l’hormonothérapie (la chimie) ainsi que la radiothérapie (la radiation). Ce n’est seulement que depuis quelques années que le patient se voit proposer, s’il le souhaite, des cours activité physique adaptée, des séances de psychothérapie et/ou de diététique. Là où les premiers sont très fortement encouragés, pour ne pas dire imposés sous peine de culpabilité, les « traitements » suivants sont au bon vouloir du patient. Lequel patient, rappelons-le, est en état de choc et de stress post-traumatique suite à l’annonce du diagnostic. Ce qui signifie, qu’il est dans l’impossibilité d’avoir le recul nécessaire pour prendre la meilleure décision pour lui. Il réfléchit et agit en mode automatique et se voit bien souvent dépossédé de son pouvoir de décision.

 

Mon expérience de patiente et d’hypnothérapeute accompagnant des femmes atteintes d’un cancer du sein, m’amène à penser que cette approche est insuffisante, incomplète et interdit la prise en considération de l’expression des croyances du malade. Or, nous savons que la pleine adhésion de ce dernier aux protocoles de soins est indispensable pour envisager sa guérison.

 

Soutenu par le corps médical, il appartient au malade de devenir acteur de sa santé, d’être autonome, libre de sa vision de la maladie pour espérer en déterminer une cause qui fera sens pour lui et se donner la possibilité de se guérir. Le malade doit se concentrer sur ce qu’il veut et non sur ce qu’il ne veut pas. Il doit être accompagné dans ce sens et se voir expliquer toutes les solutions possibles, même celles qui ne répondent pas aux standards médicaux mais dont l’efficacité est belle et bien mesurable au vu du nombre de patients guéris. L’auto-responsabilisation du patient est primordiale. Il ne doit pas voir dans le médecin un sauveur mais un accompagnateur et se saisir de son pouvoir de guérison.

 

Prenons mon cas personnel. Le 13 décembre 2021, à la suite d’un banal examen de contrôle, j’apprends qu’un carcinome lobulaire infiltrant a été identifié sans symptôme. L’état de choc passé, je sais intuitivement que cette maladie n’est pas due au hasard. Tout mon corps vibre cette certitude inexplicable. Je m’en exprime même auprès des médecins qui vont m’accompagner. Je suis intimement convaincue que la maladie est là pour m’alerter sur un déséquilibre interne et qu’une lourde blessure émotionnelle que je pensais avoir cicatrisée, ne l’était pas.

 

Alors que s’offrent à moi plusieurs réactions possibles, je décide de prendre mon destin en main comme jamais. Je passe en revue tous les aspects de ma vie susceptibles d’être à l’origine de cette mutation cellulaire. La maladie a ce pouvoir fabuleux de nous obliger à nous arrêter dans notre course folle pour examiner ce qui ne va plus dans notre mode de fonctionnement.

Je crois profondément en la médecine moderne mais, pourtant, à ce moment-là, celle-ci me paraît insuffisante ou tout du moins, elle ne répond pas pleinement à mes attentes ni à mes certitudes. Or, nous savons que nous créons toute notre vie à partir de nos croyances. La maladie n’échappe pas à cette règle. Je sais que pour me guérir, je dois totalement adhérer aux traitements qui me sont proposés et être en symbiose parfaite avec tout ce qui m’est prescrit. Je me dois de reprendre le pouvoir et de devenir actrice de ma guérison. Ma foi en la puissance d’auto-guérison du corps me pousse à me tourner vers des thérapies dites complémentaires pour compléter et soutenir les protocoles de soins dispensés en clinique. Pour moi, il est inenvisageable de privilégier l’un par rapport à l’autre. Les deux approches ont leurs forces et leurs limites et sont à ce titre, totalement complémentaires. Dès lors, je rassemble, autour de moi, une équipe de praticiens holistiques. Cette « team », comme je l’appelle, vient en soutien quotidien, de tous les soins que je reçois en milieu hospitalier.

Ainsi, j’identifie 16 facteurs susceptibles d’être à l’origine de la maladie sur lesquels je me dois d’agir simultanément. Tous ces domaines sont interreliés et interdépendants.

 

De mon point de vue, la notion d’âge ne tient plus face au nombre croissant du rajeunissement des malades notamment des femmes atteintes du cancer du sein pour ne citer que lui.

 

Traiter le corps physique sans se pencher sur chacun des corps qui constituent l’être humain (corps énergétique, corps mental, corps spirituel et l’âme) ainsi que sur chacun de ces facteurs, c’est comme mettre un pansement sur une plaie sans la nettoyer. Le patient doit être pris en considérations dans sa globalité pendant des mois voire des années. Si tout est mis en œuvre pour aider le patient à être plus fort, alors le pronostic peut être amélioré.

 

Développer ces 16 facteurs serait beaucoup trop long aussi, je n’en survolerai que trois :

1.    L’alimentation est, à mon avis, un facteur important à prendre en considération dès le début de la prise en charge au même titre que la chirurgie, la chimiothérapie ou la radiothérapie. Depuis 2011, nous savons que l’inflammation et l’immunité jouent un rôle important dans la cancérogénèse. Or, à aucun moment dans le protocole de soins qui m’est proposé, il m’est expliqué que s’il y a cancer c’est qu’il y a dysfonctionnement du foie qui ne joue plus son rôle, inflammation et acidification de l’organisme. Pourtant, le traitement doit aussi venir de l’intérieur. Aucun patient ne peut prétendre guérir s’il continue à évoluer dans le même environnement et avec la même alimentation qui l’ont rendu malade. Ainsi, dès l’annonce du diagnostic, je réalise une mise à plat complète de ma façon de m’alimenter. Je prends l’initiative de consulter un micronutritionniste. Cette rencontre me paraît indispensable pour me guider, m’expliquer ce qui se passe dans mon corps, pourquoi j’en suis arrivée à ce stade alors que je pensais faire attention à la composition de mon assiette. Ces séances me permettent de me reconnecter à mon corps et d’agir pour diminuer l’acidité interne de l’organisme, nettoyer le foie, réimperméabiliser les intestins et ramener l’organisme à un équilibre acido-basique. Suivre des conseils et stages en nutrition pour mieux m’alimenter et éviter de commettre à nouveau les erreurs du passé me permet de changer de regard sur la nourriture. C’est comme si une réconciliation se produisait entre mon alimentation, mon corps et moi. Le seul fait, de porter mon attention sur le contenu de mon assiette et de changer ma façon de consommer, suffit à me dynamiser et à « me saisir » de la maladie pour apprendre à composer avec elle. A ce moment-là, j’ai réellement l’impression de devenir actrice de mon destin et non plus la victime « à pas de chance » que les médecins doivent sauver.

 

2.    Les traumatismes psycho-émotionnels : de nombreux ouvrages écrits par des médecins traitent du sujet dont le dernier en date est celui, troublant, du Docteur Yann Tiberghien « Ils étaient tous condamnés : 11 récits de guérisons inexpliquées ». Ils abordent tous le rôle surprenant que des traumatismes psycho-émotionnels joue dans le déclenchement de la maladie et l’impact primordial de la prise de conscience du malade dans son processus de guérison. J’ai la faiblesse de croire qu’effectivement la façon que nous avons de vivre les évènements peut être un élément actif du dysfonctionnement cellulaire. Aussi, je m’interroge : à quel moment du parcours de soin, la vie du patient est-elle passée au crible comme c’est le cas en Inde avec la médecine ayurvédique ? Personnellement, dès l’annonce du diagnostic, j’ai su intuitivement que la cause psycho-émotionnelle profonde du mal qui me rongeait était mon impossibilité de réaliser mon rêve d’enfant : devenir mère et ce alors même que la médecine ne décelait aucune infertilité chez moi ni chez mon compagnon de l’époque. Ce souhait « vital » comme je le nommais souvent, s’était soldé par trois fausses-couches que je n’avais pu me résoudre à accepter. Trois deuils non faits. Trois chocs psychologiques aux impacts sous-estimés. Le travail que j’ai effectué par la suite, à ma demande, avec un psychologue holistique n’a fait que confirmer cette intuition.

 

3.    L’importance du verbe : le troisième point que je souhaite aborder est celui du langage utilisé. En Hypnose et Programmation NeuroLinguistique (PNL), nous savons que les tournures de phrases que nous utilisons et les mots que nous employons sont autant de coups de poignard ou de caresses que nous donnons au malade. Si ce dernier doit s’approprier la maladie, il ne doit pas pour autant s’identifier à elle. Les expressions telles que « votre maladie », « votre traitement », « mon cancer », etc. sont autant de formulations verbales qui créent un transfert chez le malade. Or, la maladie ne lui appartient pas. La maladie n’est pas dans sa nature. Il est affecté par la maladie mais il n’est pas la maladie. Pour que le travail de guérison puisse se faire, il faut qu’un détachement conscient puis inconscient se mette en place entre le patient et la maladie. Que dire alors des expressions « vous devez vous battre », « guerre contre le cancer », « survivante », etc. Tous ces mots sont des non-sens absolus, contre productifs. Ils sont utilisés avec force par tous, pour motiver et soutenir mais en l’absence complète de conscience de l’impact qu’ils ont sur le mental du patient. L’énergie de ces mots est destructrice. Le malade vit déjà un conflit interne invisible à l’origine de la maladie. Est-ce que c’est un combat supplémentaire qui va venir résoudre le problème ? Probablement pas. Aucune paix durable n’a été signée sur un champ de bataille ! Le pire des mots à mes yeux, c’est tumeur. L’oreille entend : tu meurs. D’après vous, quel message comprend le cerveau d’un patient ? Richard Bandler, l’un des pères de la PNL, disait « le cerveau n’apprend pas à obtenir des résultats ; il apprend à aller dans la direction qu’on lui indique ». Laquelle direction est indiquée par les mots employés et entendus. Je vous laisse imaginer ce qui se passe alors dans la tête du patient. La force du verbe est aussi importante que le traitement médical lui-même à mon avis.

 

Au cours de mes recherches, j’ai découvert les travaux du Docteur Jean-Loup Mouysset, oncologue. Bien que controversé par certains de ses confrères dans son approche de la maladie et des traitements qui lui sont associés, ce médecin défend l’approche holistique inspirée de la médecine ayurvédique que je décris.

Ancien interne à Stanford aux Etats-Unis, cela fait 12 ans, que le Docteur Mouysset préside le premier centre Ressource fondé à Aix-en Provence. Il a repris les travaux du Professeur Barbara Andersen, psychologue clinicienne américaine. Celle-ci a constaté que lorsque des patientes atteintes d’un cancer sein, effectuent un changement dans leur mode de vie en complément des thérapeutiques conventionnelles, elles vont mieux psychologiquement au bout de 4 mois. Sur un plan immunitaire, c’est au bout de 12 mois que les changements notables sont enregistrés et au bout de 20 mois qu’une différence clinique est enregistrée. Le plus encourageant est que le risque de récidive chute de 50% au bout de 10 ans et le risque de décès est réduit de 68%[2].

De même, une étude menée par Dean Ornish chez des hommes atteints d’un cancer de la prostate latent, montre qu’au bout d’un an, l’immunité anti-cancéreuse est devenue huit fois plus performante que les cellules cancéreuses des patients qui n’ont pas suivi ce changement de mode de vie. Cette étude montre également que cinq ans après, chez les patients qui ont opéré un changement de mode de vie, l’analyse des chromosomes de leur système immunitaire révèle que les télomères se sont rallongés[3].

 

Je ne suis pas en train de dire que les thérapies dites « alternatives » sont plus performantes que la médecine conventionnelle, bien au contraire. Quand on prend les chiffres des quatre cancers les plus courants : sein, prostate, poumon et colon, on constate que l’espérance de vie est divisée par 2,2 si le patient choisit un traitement alternatif versus un traitement conventionnel. Si on parle de cancer du sein ou de cancer colo-rectal, le risque relatif de décès est multiplié par 5. Il est donc clair que les traitements alternatifs sont moins performants que les thérapies conventionnelles[4]. Toutefois, une méta analyse (Cancer Medecine 8(1) : 363-373, 2019) qui a repris 12 études réalisées dans le monde, montre que lorsqu’une démarche intégrative est proposée au patient, c’est un gain de +29% de chance de survie qui est constaté.

 

Pour conclure, je me contenterai de dire que lorsque la maladie se manifeste c’est l’occasion qui est offerte au malade d’opérer un changement de vie global.

Si aujourd’hui, j’ai décidé de spécialiser mon activité professionnelle dans l’accompagnement des femmes affectées par le cancer du sein, c’est parce que nombre d’entre elles poussent la porte de mon cabinet en disant « j’ai développé un cancer du sein, je sais pourquoi, mais je ne peux pas en parler aux médecins, ils ne peuvent pas comprendre, aidez-moi ». Elles font ici références aux côtés émotionnel, spirituel et existentiel.

Par ma posture, mon objectif est double : apporter à ces femmes espoir et réconfort en leur transmettant des solutions qui m’ont permis de comprendre et d’accepter la maladie ainsi que les traitements. Peu m’importe que leurs croyances ne soient pas en accord avec les miennes, l’important est que ce qu’elles pensent comme étant la vérité fasse sens pour elles et les aide à mieux vivre la maladie.

D’autre part, je souhaite venir en aide aux professionnels de la santé qui sont parfois démunis face aux croyances et comportements de certaines malades.

Gardons à l’esprit qu’il y a toujours du positif dans tout ce que nous vivons et que peu importe les preuves scientifiques et croyances existentielles et spirituelles de chacun, ce qui compte c’est le bien-être du malade. Il est indispensable qu’il ne reste pas enfermé dans un diagnostic et un pronostic. La maladie lui appartient et à lui seul. Elle devient ce qu’il décide d’en faire. Le thérapeute est là pour accompagner, pour soigner. Seul le malade détient le pouvoir de sa guérison encore faut-il pour cela qu’il soit bien accompagné.




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Sylvie Palin-Luc

Hypnothérapeute

spécialisée en prévention, accompagnement et rémission du cancer du sein et gestion du stress

0677124206

Consultations au Haillan ainsi qu'en visio


IMPORTANT : Les thérapies complémentaires (hypnose, PNL, DNR et les soins énergétiques)

 ne se substituent pas à une démarche thérapeutique traditionnelle, elles ne visent pas à faire un diagnostic ou à prévenir une pathologie. Elles sont compatibles avec tout traitement médical en cours ou à venir. Elles ne peuvent et ne doivent en aucun cas se substituer à un traitement médical qui dans tous les cas doit être poursuivi. En cas de doute demandez l’avis de votre médecin.


[1] Cette thèse en médecin fut couronnée de la plus haute récompense : mention très honorable avec félicitations du jury. Dans ses travaux, l’auteur n’utilise pas le mot « âme » mais celui de « Conscience Intuitive Extraneuronale ». Quoi qu’il en soit, depuis cette date, le monde médical reconnaît de façon officielle l’existence d’un esprit indépendant de la matière. Il s’agit de la même chose, c’est juste le vocabulaire qui change.

[2] Andersen et al, Cancer – december 15, 2008 – vol.113/number 12

[3] Ornish et al, Lancet Oncol 2013, 14 : 1112-20

[4] Use of Alternative Medecine for Cancer and its Impact on Survival, Skyler B. Johnson, Henry S. Park, Cary P. Gross, James B. Yu, J. Natl Cancer Inst (2018) 110 (1)


 
 
 

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